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Courrier 2004/2005

 

ndlr (25/05/05) : bon, soyons bref : la maintenance du site est quelque peu compromise dans la mesure où je redeviens SDF dans les jours prochains (juste le temps de glisser un bulletin NON dans l'urne et je me retrouve à la rue). Principale conséquence (pour le site): la disparition des droits de réponse et du formulaire de la page courrier qui ne sera donc plus mise à jour.

En un mot, Web'xclusion devient un site mort. Mais c'était déjà un peu le cas, non ?

 


Les commentaires des touristes de passage en Web'xclusion

nlmc (14/05/05) droit de réponse Chiffres : bonjour j'ai beaucoup apprecier votre site mais il me semble que les chiffres que vous indiquer sont quelque peut erroner je me permet donc de vous donner les miens car j'aimerai que vous compreniez ceci;

une personne qui percoie le rmi et tout dépend de sont statut qu'il soit célibataire , ou en couple avec des enfants peut et il y en a beaucoup ,travailler seulement le rmi est deduit de son salaire pour les trois mois suivant sa déclaration.

imaginons un couple ayant quatre enfant et qui percoie 527€ de rmi mensuel ils font leur déclaration a la caf pour janvier février mars ,puisque la déclaration de changement de situation et trimestriel

le monsieur trouve un emplois au mois de février, un contrat CES d'un mois a mi temp il percoie 546€ de salaire ont rajoute 527€ de rmi = 1073 euro , au mois de mars sont contrat de travail et terminer cependant il doit faire de nouveau sa déclaration de changement de situation a la caf ce qu'il fait

aprés reception de ses documents la caf recalcul les droits de ce couple avec quatre enfants , et il s'avere que suite a la déclaration du salaire que monsieur a percue pour une période d'un mois donc 546€ le montant du rmi et emputer de la somme de 170 € , donc si l'ont deduit les 170€ du montant total du rmi 527€ il reste a notre couple et ses quatre enfants 357€ (2341.77fr ) de rmi qui lui seront versé pour une période de trois mois avril mai juin .

maintenant faisont les comptes

Mr a percus un salaire de 546€ = 3581,53 fr pour une periode de 1 mois qu'il a mis de coté la dessus aprés réevaluation de ces droits la caf lui retire 170€ =1115,13 fr mensuele pour une période de trois mois avril mai juin si l'ont divise le salaire de Mr 3581,53fr par trois = 1193,8433 fr ont peut donc constater que Mr a reverser via sont salaire et sur une période de trois mois la somme de 170€x3= 510€ (3345.38 fr) a la caf sur les 546€ qu'il a percue de salaire , lui reste donc 510€ - 546€= 36€ (236,14fr ) sur sont salaire .

comme vous avez pu le lire il ne s'agit que d'un travail a mi-temp et sur une période d'un mois , imaginer donc les retenues que la caf ferait si un rmiste gagner le smic nous pouvont donc nous poser des question quand a ce que j'ecrit ci dessous trouver sur le site meme de la caf

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Après accord du Président du Conseil général, le Rmi vous sera versé dès le mois de la demande pendant trois mois. Ensuite, un nouveau calcul sera effectué tous les 3 mois.

( les beau mensonge de la caf ) Si vous bénéficiez déjà du Rmi et reprenez une activité salariée ou effectuez une formation rémunérée, la Caf ne tiendra pas compte de vos salaires pour le calcul de votre Rmi, pour le trimestre de reprise d'activité et les 3 mois suivants.)) Ensuite, pendant 9 mois, elle retient 50% de votre rémunération.

Si vous êtes en contrat emploi solidarité (Ces), la Caf prend en compte vos salaires après avoir effectué un abattement de 140,38 €. Cet abattement est effectué pendant toute la durée de votre contrat.

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voila comment et pourquoi une famille avec quatre enfant doit se débrouiller avec 357€ mensuel de rmi
voila comment et pourquoi régne la pauvreté la précarité ,l'insécurité , voila comment ceux qui gouvernent achete la paix sociale en france , et continue de fabriquer du chomage de masse voir la fracture sociale .


Ndlr (12/05/05) : copie d'un communiqué de presse du BIP 40

Communiqué de presse du 12 mai 2005

Edition 2005 définitive du Bip 40
Niveau record pour les inégalités et la pauvreté

Alors que les chiffres du Dow Jones et du Cac 40 sont présents sur tous les médias, la mesure des inégalités et de la pauvreté est largement absente du débat public. Les derniers chiffres officiels sur les inégalités de revenus en France sont largement dépassés puisqu'ils datent de 2001. Pire encore : les chiffres officiels sur le taux de pauvreté sont biaisés, notamment parce qu'ils ne prennent guère en compte les revenus du patrimoine qui ont explosé depuis une quinzaine d'années. L'Insee affiche ainsi, contre toute évidence, une baisse du taux de pauvreté en France, de 7,1% en 1984 à 6,1 % en 2001. Pour pallier ce manque criant, le Rai (Réseau d'alerte sur les inégalités) publie depuis quelques années un indicateur synthétique, le Bip 40 (Baromètre des inégalités et de la pauvreté) qui résume en un indicateur synthétique plus de 60 séries de données regroupées en six grands domaines: revenus, emploi, éducation, logement, santé, justice.

Avec l'édition définitive du Bip 40 pour l'année 2003, l'aggravation des inégalités et de la pauvreté apparaît encore plus forte qu'initialement annoncé. Publié à l'automne 2004 sur la base des chiffres alors disponibles, l'indicateur synthétique augmentait de 5,5% pour 2003. Les chiffres définitifs publiés aujourd'hui portent sur les 61 séries qui composent l'indicateur : la hausse a été en réalité de près de 8% par rapport à 2002. Au total entre 2001 et 2003, l'indicateur Bip 40 a augmenté de près de 14% pour atteindre son plus haut niveau depuis 20 ans.

Le précédent record en matière d'inégalités et de pauvreté remontait à 1997. Au cours des deux premières années de MM. Chirac et Raffarin, le Bip 40 a connu sa plus forte croissance depuis vingt ans. Rien d'étonnant donc à ce que l'impopularité de cette équipe dirigeante atteigne elle aussi des records.

Le Bip 40 s'envole d'abord à cause de la hausse du chômage. Les chômeurs non seulement sont plus nombreux, mais ils reçoivent moins souvent une indemnisation : la proportion d'allocataires de l'Unedic parmi les demandeurs d'emploi diminue. Le chômage de longue durée augmente lui aussi. D'où une nouvelle hausse du nombre de titulaires de minima sociaux

Dans ce contexte, la précarité de l'emploi, en léger recul du fait du non-renouvellement de nombreux CDD et missions d'intérim, reste à un niveau élevé ; les conditions de travail continuent de se dégrader, avec la multiplication des maladies professionnelles et une gravité croissante des accidents du travail.

La hausse du Bip 40 traduit aussi la dégradation de la situation du logement. Le prix des loyers flambe, appauvrissant directement les familles locataires, les moins favorisées. Le nombre d'expulsions pour loyers impayés n'a jamais été aussi élevé qu'en 2003. En matière de consommation, le nombre de ménages surendettés a battu des records, et le nombre des incidents de crédit (chèques impayés) a lui aussi augmenté.

La dégradation est particulièrement sensible dans le domaine de la justice. Les politiques sécuritaires prennent le pas sur les politiques sociales : on emprisonne les pauvres faute de vouloir réduire la pauvreté. Le taux d'incarcération n'a jamais été aussi élevé dans notre pays (133 pour 100 000 habitants). La proportion de prisonniers en détention provisoire s'est fortement accrue. Quant aux étrangers, leur situation s'est elle aussi dégradée ; le taux de reconnaissance du statut de réfugié a connu une nouvelle chute, s'établissant au niveau dérisoire de 15%.

Plus nouveau : pour la deuxième année consécutive, les inégalités en matière d'éducation s'accroissent. Alors que jusqu'au milieu des années 1990, ces inégalités n'avaient cessé de baisser, modérant la hausse du Bip40, ce n'est plus le cas désormais. La démocratisation de l'école s'est interrompue et les écarts en matière de réussite scolaire augmentent à nouveau.

En matière de santé également, les inégalités sont reparties à la hausse. La réforme de l'assurance maladie laisse à la charge des patients une part croissante des frais de santé, restreignant l'accès aux soins de plus en plus de ménages. Si l'espérance de vie continue à se situer, en moyenne à un niveau élevé, tous les indices montrent que les écarts d'espérance de vie entre catégories sociales ont continué à augmenter.

Enfin, dans le domaine des revenus, la part des salaires dans la valeur ajoutée reste à un niveau historiquement très faible, tandis que les politiques fiscales ont continué à favoriser les ménages les plus aisés. Par ailleurs, les revenus financiers occupent désormais une place considérable dans le revenu des ménages et la part des ménages imposés à l'ISF n'a jamais été aussi élevée. Ces évolutions pèsent de façon importante sur le niveau de vie des ménages de salariés qui ne disposent que des revenus de leur travail.

Sur plus long terme, les variations du Bip40 signalent une augmentation préoccupante des inégalités. Même si la dégradation du tissu social n'a été ni continue ni inéluctable, cette tendance semble s'être installée de façon durable. Au-delà des fluctuations conjoncturelles qui peuvent être particulièrement fortes sous l'impulsion de changements politiques, comme ce fut le cas au cours des deux dernières années, la montée des inégalités et de la pauvreté se poursuit depuis 20 ans malgré les alternances politiques.

En savoir plus : http://www.bip40.org


Ndlr : mizajour collectiviste (mai 2005)

- Christelle (11/05/05) : salut à toi !
mais comment en es tu venu à écrire sur ce sujet ? non, ça n'est pas la question...
je me présente, Christelle, jeune éduc "en formation"(c'est ce qu'on me dit) dans un accueil de nuit vieux de trente ans et qui connais la dimension sociale depuis 3ans seulement.
je débarque d'un centre pour adultes handicapé et me voilà ravie d'être dans un contrat aussi précaires que l'établissement !
c'est vrai que j'ai un boulot, j'en suis passionnée ! mais quelle galère d'être jeune dans ce monde matcho et insensibles !
mais collègues me sorte par les trous de nez car ils sont exactement ce que tu dis dans ta caricature .. dois-je changé de boulot pour autant ? non, je me bat contre les préjugées avec force et arguments béton (car ils me loupent pas si je me prépare pas à l'attaque) mais ce petit asile de nuit, transformé en CHRS bidon (puisque n'accueille que de nuit et en dortoirs !) à ces trente ans de cathos dévoués derrière lui. et moi, je fous le souk, je les remue avec mes réflexions humaines et "normal". et puis un jour (hier en réunion entre salariés) j'ai halluciné : je me suis adapté à leur manière de voir. me voilà d'accord pour foutre un type à la porte car il pue et qu'il boit trop ! alors que ce type vient d'une caverne et que son avancé était fulgurante : il se rasait et changeait de vêtements une fois la semaine.
je me suis donné envie de gerber quand je me suis vu être d'accord avec eux. mais 6 contre une, c'est pas gagner d'avance !
tout ça pour te dire qu'il est pas facile d'être éducs et de garder une dimension humanisante dans un asile de fous (je parle des collègues bien sur !).
ciao !

 

- Marc (10/05/05) : L'analyse est très bonne bien que je n'ai jamais connu cela, mais je m'imagine -

Comment savais vous tout cela, vous y êtes passé -

J'aimerais une réponse -

Je suis veuf depuis 5 ans et j'ai 65 ans - Doit-on rester seul bien que des années de bonheur ne peuvent pas s'oublier - certe il y a des tentations mais j'ai ausi des enfants et des petits enfants - alors doit on faire passer sa vie privée avant ses enfants et ses petits enfants qui ne verraient peut-être pas d'un bon oeil que Pépé amène une autre femme à la maison - Attention je suis pas a la rue ni en taule - mais vos propos laissent pensifs. MARC

 

- DsiD (25/04/05) : Je ss pas daccors j'ai 14 ans et je veu etre educatrice j'abite près de la cité et je c ki en a plus d1 ki a besoin daide et detre remis dans le droit chemin et si je veu fair sa c packe je veu les aider mm si tt le monde me rabesse en me disan c un metier dificile mais moi je lai choisi mon metier

 

- Au cas où (24/04/05) : Ouai, pas mal il faut continuer, mais pas assez virurent, j'ai pas dit agressif ou violent, surtout pas, j"ai dit un peu plus caustique . Par contre bon site, j'ai tout pompé, au cas ou il n'existerait plus demain, ce serait vraiment domage, ton site peut aider et c'est ca qui interresse. Tres vrai la zone pavillonaire, pas mal de gens bien pensant mais tres bof, ces cons seraient capables de tuer, dans certain cas il ont abimé leur momes , c'est vraiment con !!!. Remarque, c'est pas les seuls.
Bon soir : t'es pas tout seul et moi non plus
salut !

 

- Franz (05/04/05) : Bonsoir,
Je suis moi-même dans une situation pécaire à un point que je risque d'être dans la rue d'ici quelques semaines. Je n'ai jamais connu dans ma vie la misère, et le récit le fait très très peur. Je ne survivrais pas dans la rue, je suis trop faible. J'ai 54 ans, j'ai tout perdu. Mon avenir ne peut être que la rue. J'y creverai.
Franz ****

 

- Copinage (05/04/05) : Pour info : échange courrier sur Le Défouloir des Précaires

-- E-mail reçu d'une responsable de presse de M6 le 31 03 2005 :

Bonjour,
Je suis réalisatrice et prépare en ce moment pour une émission sur M6, Zone Interdite, un reportage sur le thème "j'arrête de travailler". J'ai entendu parler de vous en passant par le site des "Chômeurs heureux". Je cherche le témoignage de personnes qui ont un vrai discours sur ce thème et prouver qu'il n'est pas nécessaire d'être millionnaire pour arrêter de bosser. Je souhaite comprendre comment vous vivez, les plans démerdes genre échange alternatif, les centres d'intérêts, le lien social, les réactions de l'entourage... Si ce projet vous intéresse, merci de me contacter pour plus d'infos, par mail ou au : 01 53 .. .. ...
A BIENTÔT
Maud

-- Réponse du Défouloir :

Amertume, quand tu nous tiens...

Tu es la sixième depuis 18 mois à te présenter ici comme journaliste. Les deux premières préparaient des articles sur les chômeurs heureux (VSD & revue économique), une autre étudie la mémoire des frappés du chômage pour France Inter, la suivante prépare une émission drôle sur le chômage pour France3 (je leur ai demandé à toutes si elles ne voulaient pas une fessée : elles ne m'ont plus contacté), et le dernier est un collègue à toi : David C. (11 janvier 2005. Lui, je ne lui ai pas proposé de fessée) !

Comme mes pairs sur le Net, je ne donne aucune suite à vos demandes parce que vous ne lisez rien du contenu de nos sites, parce que vous exploitez la déchéance pour assurer vos carrières, parce que vous donnez systématiquement une image dépréciée du chômeur, parce que vous servez l'ordure gouvernementale et sa politique d'exclusion et de débilisation de l'exclu. La caricature du rmiste parasite aux cernes d'ivrognes, un cheveux sur la langue et les autres en pétard, le QI dans les cartons et les restaus du coeur à portée de misère, ça suffit ! La parodie de l'exclu qui se démerde finalement très bien dans l'underground, aussi !

Permets-moi de te dire que vous commencez à nous gonfler avec vos sujets récurrents sur le chômage assimilé à la fuite, à la démission, au hamac ou au bonheur, et en l'occurrence à la marginalité assumée, voire choisie.

Votre émission sera perçue par les bien-pensants comme une preuve supplémentaire que les clodos ne font rien pour se "réintégrer" et tout pour s'accommoder de solutions alternatives. D'où, évidemment, l'inutilité de continuer à payer des cotisations pour entretenir ces gens qui ne veulent pas travailler et qui gèrent très bien leur sort tout seuls.

Le chômage n'est pas "normal". Il serait plus que temps de traiter, dans les média, certaines questions de fond qui n'arrangent personne mais qui donneraient au moins une chance de remettre quelques esprits sur les rails de la décence. On n'exclut pas de la table familiale l'un de ses enfants pendant que les autres s'empiffrent, en lui jetant des miettes et en le culpabilisant, fût-ce en lui reconnaissant le mérite de se démerder très bien ainsi.

Il y a aussi des exclus qui ont des doctorats, qui n'ont jamais admis leur marginalisation même s'ils s'en sont forcément accommodé et qui, derrière un sens de l'humour de façade, aimeraient mieux participer à des émissions-vérité sur ce qu'est devenu ce pays, ce système et cette société d'hystériques de l'égoïsme, de l'arrivisme, du profit à sens unique, de l'escroquerie politique, de la culpabilisation d'autrui, etc.

La dérision, dans Le Défouloir des Précaires, n'est rien d'autre qu'une arme pour éviter de se pendre. Il est vrai qu'on se marre pas mal sur notre site, mais c'est d'un rire jaune, surtout lorsque des journalistes nous contactent.

Malgré tout, si tu comptais piocher quelques idées sur notre Défouloir, tu peux : on est charitable chez les démerdards du chômdu, et comme on n'a accès qu'au bénévolat...

"Exclusivement"
Le Défouloir des Précaires (ou Le Cauchemar des Journalistes)

 

- Chèques Emploi Service (31/04/05) : Tres bien tout ces renseignements mais comment savoir le montant horaire a regler à l’employé ? IL doit bien y avoir un plancher et un plafond ?
Je vais utiliser ce service pour la première fois et je n’ai aucun document joint au chéquier et aux enveloppes pour l’Urssaf, qui me renseigne !
Merci de votre prompte réponse
Salutations
Mme ****

Ndlr : taux horaire minimum : le Smic, taux horaire maximum : à votre bon coeur... Plus de précisions sur le site de l'Urssaf réservé aux chèques emploi service, mais l'idéal pour une première fois est d'appeler le CNTCES au 04 77 43 23 75. Pour le prix d'un appel téléphonique, vous serez remarquablement conseillée et vous saurez au centime près ce que vous aurez à payer. A savoir, il existe différents forfaits et des simulations pourront être réalisées. A savoir encore, l'utilisation des chèques emploi service permet de faire baisser vos impôts dans des proportions importantes...

 

SIRS (30/03/05) Bonjour,

Nous avons le plaisir de vous informer de la sortie aux Éditions Inserm (Coll. Questions en Santé Publique) de l'ouvrage :

Chauvin P, Parizot I, eds. Santé et recours aux soins des populations vulnérables Paris, Éditions INSERM, 2005, 340 p.

Cet ouvrage est le fruit de séminaires mensuels organisés depuis 2002 par le réseau multidisciplinaire de recherche en santé publique « SIRS IdF » (Santé, inégalités et ruptures sociales en Île de France), réseau est coordonné par l’équipe de recherche sur les déterminants sociaux de la santé et du recours aux soins de l’INSERM (U707).

Une sélection des meilleures contributions à la première année de ces séminaires se retrouve ici, sous la forme de courts chapitres, spécifiquement rédigés pour cette publication. Des thèmes précis tels que la santé des personnes sans domicile, le recours aux soins des personnes infectées à VIH ou encore les violences conjugales et la souffrance particulière des adolescents sont abordés sous divers points de vue. Sociologues, épidémiologistes, démographes et psychologues ont pu confronter leurs points de vue avec celui de médecins, de représentants associatifs ou de responsables de dispositifs de soins.

Ce livre s’adresse ainsi à tous les chercheurs, universitaires, professionnels de la santé et de l’action sociale, étudiants et décideurs qui s’intéressent, spécifiquement, aux situations sanitaires et aux soins des populations vulnérables mais aussi à ceux qui sont concernés plus largement par la thématique des déterminants sociaux de la santé. Ils y trouveront de nombreuses contributions susceptibles d’enrichir leurs connaissances sur ces questions.

Pour vous le procurer : editions@tolbiac.inserm.fr
ou : http://www.lavoisier.fr/

--
Réseau SIRS IdF
[...]
E-mail : sirs@u707.jussieu.fr
http://www.u707.jussieu.fr/sirs/


Rattrapage (très...) tardif, par ndlr (08/01/05 et 17/03/05) :

- Thierry (08/03/05) : Bonjour,

Juste pour dire qu'il est agréable de se voir offrir une représentation, claire et sans parti pris, d'une situation comme celle présentée ici.

Bravo, c'est fait "dans les règles de l'art" (l'art lucide LOL).

Cordialement

Thierry


- Jules (3 courriers, 03/03/05) :
1 - salut camarade
on travaille apparemment pour la même firme, la CAF, une société secrète qui vise à éloigner du pouvoir les plus talentueux des fainéants. Je voudrais bien te mettre en contact avec un certain nombre des serfs volontaires dont je fais partie et qui aiment la paresse comme d'autres aiment le travail, te parler de l'improvisation quotidienne et de notre force européflemme, car nous somme l'avenir de nous et des autres, et encore si on en a l'envie
a bientot le chat des étoiles

2 - le sexe en tant que rmiste c'est quand même mieux que en tant que grand patron , tu peux pas payer ou être aimé pour ton fric
alors les sentiments et le cul sont plus naturels et moins simulés

3 - enfin si çà vous interesse un lien à Berlin avec des allemands de l'est un peu révoltés de comment on s'est foutu de leur gueule en 1990


- Manuella (03/03/05) : Cher (ancien ou actuel) rmiste dont je ne connais pas le nom,
Je suis tombée sur un de tes textes sur le rmi et les septs façons de s'en sortir, et il prouve bien qu'on peut être dans cette situation sans perdre son humour...
Je suis aussi au rmi, et par ailleurs réalisatrice.
Je prépare (écriture) un docu sur le rmi et les rmistes, et je suis en quête de témoignages non-misérabilistes, et j'ai la joie de t'annoncer que tu rempli le premier critère! Tu peux désormais me recontacter pour participer au film... Sérieusement, si cela t'intéresse, j'aimerais recueillir ton témoignage, il est drôle et juste.
A bientôt j'espère,
Manuella *****


- Fabienne (16/12/04) : Salut,
C'est en faisant des recherches sur le métier d'éducateur que je suis tombée sur ton site (rassure toi je ne me suis pas fait mal).
En fait j'envisage de devenir educateur et evidemment ton point de vue m'a particulièrement intéressée.
Penses tu réellement que l'on puisse améliorer la société dans laquelle on vie afin de l'amener à une réalité plus proche de notre idéal en étant en marge de celle-ci?
Pour ma part je ne crois pas.
Et je ne crois pas non plus que le but de l'educateur est de te transformer en copie conforme du modèle que tu rejettes.
Je crois plutôt qu'il est de te donner les moyens d'adapter la société qui t'entoure à ton univers.
Evidemment cela semble un bien vaste programme et je n'y connais rien en éducation vue que je suis informaticienne.
J'aimerais savoir a ton avis comment devrait se comporter un éducateur ?

j'attends ta réponse

Fabienne


- Charles (09/12/04) : Salut Jyle,

Merci pour ces infos bien utiles et ce partage.Je suis aussi +ou mois exclu du travail car j'ai ...trop de diplome !!!c'est fou ce monde :)
j'ai tj ete tres sensible a ces problemes d'insertion et je me demande comment notre société fait pour survivre avec tant de prbs.

a plus

Charles.


- Vincent (18/11/04) : bonjour, je suis au rmi depuis 6 mois et je me bouge le derrière depuis ce temps pour trouver un emploi. Mais je ne suis pas dans un secteur d'activité où l'on trouve du boulot facilement. Je suis technicien son, entre l'obtention du statut d'intermittent et mon statut de `RMISTE. Le pire c qu'en je regarde ma compagne ds les yeux et que je me dis que pour l'instant je n'ai pas les moyens de subvenir à ses besoins et celui de son fils. Je suis obligé de m'éloigner d'eux pour les protéger plutôt que de les entraîner avec moi ds ce desert. Je ne sais que dire si ce n'est que ce témoignage est édifiant et criant de vérité, je me reconnais ds celui-ci. Je sors d'une dépression il y a 1 an dûe au contre coup de la mort de ma mère il y a 5 ans. Celle-ci a entraîné un licenciement abusif dont je viens d'obtenir gain de cause aux prud'homme mais dont l'obtention des fonds de dédommagement reste incertaine. Bref, c'est au moment où je suis au au mieux de ma forme et que j'ai trouvé la femme de ma vie que je suis au + bas socialement de ce que je n'ai jamais connu. Je n'attend rien en retour de ce message mais merci de me donner un espoir par votre témoignage qu'un jour je retrouverai un emploi qui me permettra seulement de vivre dignement et non de manière ostentatoire et ce aux côtés de mes 2 amours de ma vie dont je suis actuellement privé.
Chaleureusement, Vincent.


- Camille (17/11/04) : Moi en tout cas je n'ai pas perdu mon temps. Ce site est génial. Merci


- Sarah (03/11/04) : Bonjour,
Je suis étudiante en terminale ES, je fais des recherches sur le thème de l'exclusion et plus precisemment sur les SDF dans le cadre des TPE pour le baccalauréat 2005.Votre site m'a donné de nombreuses indications cependant je cherche un témoignage pour compléter mon dossier et je ne sais pas où en trouver .Peut être pourriez vous m'aider ?

J'espère que vous prendrez ma requête au sérieux et peut être accepterez vous de me donner quelques renseignements pouvant m'aider

Amicalement,
Sarah *****


- Zinedine (31/10/04) : slt,
Je suis tombée sur le site par hazard, en lisant une petite partie je l'ai trouvé trés revendicateur, notamment la partie réservée de "l'éducateur".
Actuellement en formation d'ETS, je me permets d'apporter, une petite touche.Je connaît le monde du travail depuis les année 75, j'ai eu "la chance" de toucher différents métiers. Aprés plusieurs "galéres", qui ont fait parties de mon histoire, m'ont apporté à la fois un enrichissement tout en me forgeant une carapace. J'ai connu une certaine forme d'exclusion, qui m'a questionné.Malgré ces périodes de galère, je me suis investit bénévolement auprés de demandeurs d'emploi et de jeunes d'une cité miniére. J'ai toujours voulu apporter mon soutien auprés des autres et plus vers ceux dont le besoin d'être écouté et orienté.
C'est pourquoi, je me permets d'apporter un micro passage de mon vécu,ceuxci dit,je vous rejoins sur quelques lignes.
Encore merci d'avoir pris un cours instant pour me lire je termine sur une partie d'un poéme qui me tient à coeur.

"Cultive ton jardin
Laisse les autres cultiver le leur
Les gôuts sont différents
L'un plantera des fleurs;
L'autre sémera du blé;
Un troisiéme laissera pousser l'herbe.
Ne juge pas.
Ce n'est pas à toi de le faire.
....................."


-Myriam (26/10/04) : J'ai lu tes articles et je les trouvent un peu violents....pourtant je pense que tu as raison...Tu n'aimes pas du tout les éducs, moi j'en garde un assez bon souvenir...Je suis actuellement en première année d'éduc spé et je me sens déjà un peu exclue des groupes de ma promo, je les trouve prétentieux et j'ai peur pour les personnes dont ils seront amenés à "s'occuper"...Mais je crois qu'il faut nuancer un peu ses avis et ne pas être trop virulent, je pense qu'il y a de bons éducateurs....et certainement de très mauvais....J'ai choisi le champ de l'insertion pour mon premier stage, j'avoue que ce que je viens de lire m'a un peu effrayé....mais je n'ai pas la prétention de remettre les gens dans le droit chemin,d'ailleurs, c'est quoi le droit chemin...je veux simplement découvrir et comprendre ce que je vais voir et sentir
Myriam *****


- Claudia (16/10/04) : Bonjour mon frere de 14 ans ne veux plus aller à l'ecole, que doit on faire puisqu'il est impossible de parler avec lui, que mes parents sont desesperés et qu'ils n'ont pas d'argent à depenser en plus. Merci


- Klervi (07/10/04) : Bonjour Est-ce qu'il serai possible d'avoir les sources de votre article sur les SDF pour un projet pédagogique
je vous remerci d'avance
klervi


- Patrick (07/10/04) : ta mere


- Elèves (30/09/04) : bonsoir , nous sommes des élèves de terminal économique et social et nous faisons une études sur les sans domicile fixe. Nous cherchons à savoir comment ils en sont arrivés là , pourquoi ? Et comment font -ils pour se réinsérer dans la société?Voila donc si vous pouvez nous éclaircir et nous aidez à répondre aux questions que nous nous posons. Merci d'avance .en attente de votre réponse.


- Pierrot (29/09/04) : Bonjour

J' ai un probleme avec une femme de ménage elle est employée depuis moins de 3 mois non reconduction sans courrier elle me demande 1 mois + 8 jours de préavis.
Dans l'attente d'une réponse
Je vous prie d'agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.


- Denis Calvados (09/09/04) : bjr félicitation a le personne qui a écrit et ossi a marcel c un sacré celui là j'y suis au rmi denis calvados

- SIRS (14/09/04) : Le réseau SIRS vous informe :
A partir du 4 novembre 2004, les Rencontres SIRS prendront la place des Séminaires des Cordeliers.
Ces 3 rencontres dans l’année à venir (4 novembre 2004, 10 mars 2005 et 9 juin 2005), se dérouleront de 14h à 18h au 27 rue de Chaligny 75012 Paris.
Elles sont, comme toujours, ouvertes à tous, mais – cette fois – sous réserve de pré-inscription.
Elles ont pour objectif d’aborder des thèmes transversaux et de construire une réflexion commune à partir des connaissances et des expériences de chacun.
La première rencontre aura pour thème "Représentations de santé et construction des normes médicales".
Tous les renseignements et le bulletin d'inscription sont sur le site : http://www.u444.jussieu.fr/sirs/cadreidf.htm à la rubrique "Les Rencontres"

Le site du réseau accueille de nouvelles rubriques. De nouveaux travaux sont disponibles en ligne ( http://www.u444.jussieu.fr/sirs/Region/cadreregion.htm, Rubrique "les enquêtes"), nous vous invitons à le visiter.

En vous souhaitant une bonne rentrée à tous.

Le réseau SIRS.

Contact et informations : sirs@u444.jussieu.fr
Web : http://www.u444.jussieu.fr/sirs/
[...]


Des nouvelles du RMA, par ndlr (05/10/04) : A peine (ou déja...) une centaine de contrats signés au 30 juillet 2004, France entière.


Mizajour tardive, par ndlr (05/09/04) :
- Albane (05/06/04) : Bonjour à tous, je viens de lire la partie "il y a un début à tout". Je suis actuellement stagiaire dans un CHRS à Clermont-Ferrand, étant en formation d'éducateur spécialisé. Sachez seulement que depuis le décret du 3 juillet 2001, la durée d'hébergement des personnes accueillies en CHRS n'est plus limitée à 6 mois renouvelables. Là où je suis en cemoment, certaines personnes sont hébergées depuis 2 ans, l'accueil est illimité, les personnes ont le choix de partir quand elles le souhaitent, même si elles n'ont pas réellement de projet d'insertion (souvent du fait d'une maladie). Voilà, je tenais juste à apporter cette précision qui change tout concernant la prise en charge de ces personnes.
Bonne continuation.
Albane.

SIRS (14/06/04) : Le réseau SIRS vous informe :

vous trouverez en ligne le texte de la dernière séance sur "Prostitution et Santé" : http://www.u444.jussieu.fr/sirs/cadretexteseances.htm

la prochaine et dernière séance des séminaires SIRS 2003-2004 aura lieu le 24 juin de 17h30 à 19h30 autour du thème : "Ségrégation spatiale et santé" : le programme sera en ligne sous peu

les séminaires reprendront à l'automne, sous la forme de rencontres trimestrielles. Vous serez tenus au courant par le biais de cette lettre d'information.

Lieu : Institut des Cordeliers, 15 rue de l’Ecole de Médecine 75006 Paris.
Salle du Rez de Chaussée, Bâtiment D.

Informations : sirs@u444.jussieu.fr
Web: http://www.u444.jussieu.fr/sirs/

- Nono-elo (07/07/04) : moi-meme educateur specialise, j'ai ete choque par la description que vous faites du travail effectue par des hommes et des femmes qui oeuvre à la reconnaissance d'un public fragilisé. j'ai neanmoins lu l'ensemble du recit car je penses que l'etre humain doit pouvoir se remettre en cause pour progresser. je ne sais pas de quelle experience tirez vous cette vision du travail educatif et c'est dommage. cependant, si votre experience a ete difficile, ne pensez vous que certaines personnes veulent s'en sortir, sortir d'une merde qui les etouffe et que celles ci ont le droit d'avoir confiance en celui qui est designe, choisi pour l'en sortir.tout le monde ne pense pas a profiter d'un systeme ou des personnes. La critique n'est positive que si elle est constructive. ainsi, j'aurai aime lire des propositions pour des personnes en souffrance qui veulent vivre dignement.
droit de reponse sur nono-elo (arobas)wanadoo;fr

- Angélique (12/07/04) : Monsieur,
J'ai beaucoup aimé surfer sur votre site, je suis mariée et mère de 4 ados , je suis française et parfois j'en ai vraiment honte, j'essaye de faire mon possible quand je rencontre quelqu'un qui a besoin de quoi que ce soit, jeudi soir j'emmenai mon fils à une soirée entre amis à 25 km de la maison, il pleuvait des cordes , un homme avec un sac faisait du stop, je me suis arrêtée pour le prendre après avoir discuté, il s'est avéré qu'il venait de perdre son C.E.S et qu'il n'avait plus de logement, il n'avait pas mangé depuis deux jours et était trempé de la tête aux pieds car il avait dormi la nuit précédente dans les bois, et il avait encore plus toute la journée, il m'a dit qu'il avait été ramassé par les gendarmes d'une petite ville d'à côté, et que ces derniers l'avais emmené à la mairie, il a demandé à pouvoir débloqué 20 euros car il n'avait plus que 10 centimes sur lui, et bien personne n'a pu l'aider , il fallait qu'il attende une semaine, résultat il faisait du stop le ventre vide et trempé jusqu'aux os pour renter dans le nord ou quelqu'un pouvait héberger, je me suis arrêtée dans une pizzeria afin qu'il puisse prendre un bon repas complet et je lui ai donné discrètement de l'argent, pour le lendemain, je ne me glorifie pas de ce que j'ai fait, si je ne l'avais pas fait je n'aurai pas pu dormir de la nuit, mais j'ai honte , honte de voir que dans mon pays "la France" il y est des êtres humains qui ne mangent pas tous les jours et qui vivent précairement.Aux personnes qui me lieront n'ayez pas peur tendez la main, peu importe qu'elle soit blanche ,grise, noire, sale, n'oubliez jamais que vous avez en face de vous un être humain et que vous ne savez jamais de quoi l'avenir sera fait pour vous ou vos proches .
bonne continuation courage et félicitations pour vos textes.
Angélique ******

- SIRS (15/07/04) : Le réseau SIRS vous informe que le texte de la dernière séance des séminaires de l'année 2003/2004 sur "Ségrégation Spatiale et Santé" est désormais téléchargeable en ligne (http://www.u444.jussieu.fr/sirs/cadretexteseances.htm).

Les rencontres SIRS prendront à partir de l’automne 2004 la suite des séminaires que le réseau organise depuis deux ans. Ces rencontres gardent l’esprit des séminaires, à savoir le souci de faire se rencontrer ces différents acteurs (chercheurs de différentes disciplines, acteurs associatifs, décideurs politiques, hospitaliers, médecins…) afin qu’ils confrontent leurs perspectives sur les thématiques du réseau.
L’organisation en est pourtant un peu différente. Des demi-journées de travail (14h -18h) se tiendront à trois reprises dans l’année. (Novembre, Février, Mai), autour de thématiques transversales.

La première rencontre est programmée pour le Jeudi 4 Novembre. La thématique, les interventions ainsi que le lieu de ces rencontres vous seront communiqués ultérieurement et seront diffusés sur le site (http://www.u444.jussieu.fr/sirs)

Le réseau vous souhaite un bon été !

- Responsabilité ? Choix ?? (03/08/04) : Je viens de lire l'article concernant les éducateurs et je suis assez surprise par les propos contenus dans ce texte. Est-ce le fruit d'une grosse méconnaissance du terrain, une rancune mal digérée, une confusion subjective ? Quoiqu'il en soit, je ne pense pas que ce texte puisse apporter un terrain constructif à une réflexion des pratiques sociales, tout au plus au découragement. Que les éducateurs servent de boucs-emmissaires au désengagement des politiques sociales, au contexte actuel illusoire de l'insertion...ne me semble pas résoudre le problème de l'exclusion. Qu'en est-il de la responsabilité individuelle et collective des citoyens face aux politiques actuelles? Pourquoi ignorer la responsabilité individuelle de chacun dans ces choix et dans son histoire de vie ?

- Christine (13/08/04) : salut à vous,
Dans les associations, vous pouvez aussi citer la Fondation de l' Armée du Salut. Adresse parisienne :
60 rue des Frères Flavien
75976 Paris Cedex 20
site : armeedusalut.fr
Des fois ça peut dépanner.
Christine

- Sarah (23/08/04) : Je suis éducatrice, j'ai travaillé dans un foyer d'accueil d'urgence, et franchement en lisant votre texte sur les éducateurs, je me suis dit que vraiment vous n'aviez pas eu forcément à faire aux bonnes personnes.
Le métier d'éducateur est un job très difficile, éprouvant autant physiquement que psychologiquement.
Certes, tous les éducateurs ne sont pas forcément de bons éducateurs, mais évitez de stigmatiser toute une profession, ne serait-ce que par respect pour ceux qui y laisse beaucoup d'eux mêmes.
Les éducateurs en foyers ou CHRS ont certes des convictions personnelles, cependant, ils sont aussi salariés d'une entreprise qui leur impose un règlement et des résultats.
Enfin, chacun voit midi à sa porte....
Amicalement,
Sarah


Un mois sans web ... par ndlr (22/06/04), perturbations attendues également en juillet.
Rattrapage partiel (une copie à usage strictement privé d'article inopinément devenu payant peut être obtenue sur demande) :

- 63.444 personnes incarcérées au 1er juin dans les prisons françaises a annoncé vendredi l’administration pénitentiaire (repris par PRISON.org). Rappel : 48500 places...
- Laurent Jacqua : appel à visite pour les parlementaires
- Déclaration de Joelle Aubron à sa sortie de prison
- Les socialistes charentais appliquent le RMA
- RMI: +9,6% d'allocataires en un an, +5,5% au premier trimestre 2004
- L’UNEDIC s’acharne contre les recalculés
- «Le plus grand recul des droits de l'homme depuis l'Algérie»
- Démineurs de délinquance


[...] ndlr : le courrier reçu avant n'a pas disparu, mais changé de place. Il est dorénavant librement consultable à l'adresse suivante :

Suite du courrier envoyé avant

c'est bizarre comme formule, non ?


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Sommaire Le courrier suivant 
Mais non : c'est le courrier précédent !
 
Bref, c'est par ici !